Université, composantes et services
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Dans les bibliothèques, un accueil certifié de qualité

Sabrina Rigal dans la nouvelle bibliothèque du Pege, récemment inaugurée.

Depuis 2015, les bibliothèques de l’université sont engagées dans la démarche Marianne et sept d'entre elles sont désormais labellisées : une reconnaissance de la qualité de leur accueil. Le fruit d’un travail de longue haleine et qui ne demande qu’à essaimer, explique Sabrina Rigal, responsable de la bibliothèque du Pôle européen de gestion et d’économie (Pege) et référente Marianne pour le service des bibliothèques.

La qualité de l’accueil des usagers, cela fait longtemps qu’on s’en préoccupe dans les bibliothèques de l'université : après une première enquête internationale Libqual1, en 2010, des consultations locales ont ensuite permis de recenser les attentes des usagers. Ainsi, au printemps 2013, la bibliothèque du Pege a lancé une enquête de satisfaction dans laquelle le besoin d’un espace détente-cafétéria était clairement émis. « Cet espace, nous l’avons créé en octobre 2013 », témoigne Sabrina Rigal.
En juillet 2016, trois premières bibliothèques2 ont été auditées avec succès dans le cadre du label Marianne. « Cette démarche m’a tellement intéressée que j’en ai pris la responsabilité pour notre service, à la rentrée 2016. » Quatre autres3 recevront, 18 mois plus tard, le macaron à l’effigie de l’emblème national, à l’occasion de l’audit de contrôle des premières. « Depuis 2015, nous nous sommes efforcés d’améliorer et de formaliser la qualité de l’accueil et de nos services. Ainsi, une enquête de satisfaction est menée chaque année dans les 27 bibliothèques du réseau », complète Benjamin Caraco, initiateur de la démarche Marianne en tant que responsable du Département des services aux publics des bibliothèques.

Feuille de route nationale

Cet engagement à « utiliser remarques et suggestions des usagers pour améliorer le service » fait partie des douze du référentiel Marianne. « Nous allons même plus loin que cette feuille de route nationale, poursuit Sabrina Rigal, puisque nous publions les résultats de notre enquête et proposons à nos usagers un échange convivial, petit-déjeuner ou goûter, une fois par an. » Des rendez-vous qui ont apporté la preuve de leur succès, contribuant à réduire la distance entre agents et usagers.
« Autre avantage, cette démarche nous conduit à formaliser certains usages et pratiques. » Exemple : les questions récurrentes – qui contacter si j’ai perdu ma carte d’étudiant, si j’ai un problème avec le copieur – trouvent désormais réponse à travers une liste de contacts affichée en évidence sur la banque d’accueil de la bibliothèque du Pege.

« Cerise sur le gâteau »

« C’est gratifiant pour les équipes de voir leur travail ainsi reconnu, ajoute Sabrina Rigal. Sans compter l’effet fédérateur du réseau des correspondants Marianne dans nos bibliothèques, qui permet d’échanger les bonnes pratiques et les initiatives. » Un tel réseau existe également à l’échelon supérieur, celui de l’université (lire encadré). Il est à souligner que le référentiel Marianne compte depuis 2016 deux nouveaux engagements relatifs aux agents et à leur formation.
De ce point de vue, « l’obtention du label est une cerise sur le gâteau, le plus important étant la démarche qui y conduit »…  qui n’est pas à prendre à la légère. « La mise en place d’un plan d’action et d’indicateurs de suivi prennent du temps ! »
Les prochaines étapes, Sabrina Rigal les entrevoit déjà : « À la rentrée, je poursuivrai l'accompagnement des bibliothèques qui souhaitent entrer dans la démarche d'amélioration de la qualité de leur accueil. » Autre enjeu : « Raccrocher notre démarche à celle, plus globale, de charte interne de la qualité à l’université4 ». Car la labellisation « en cascade » des bibliothèques pourrait bien constituer un modèle.

Elsa Collobert

1 Menée à l'échelle du réseau, commune avec la Bibliothèque nationale et universitaire (BNU)
2 Bibliothèques du Pege, U2-U3, médecine-odontologie
3 Bibliothèques du Portique, École supérieure du professorat et de l’éducation, IUT-Pharmacie, Pôle API
4 Bénéficie du soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir

Qualité : un réseau pour favoriser l’échange autour des bonnes pratiques

29 agents de l’université, personnels administratifs mais aussi enseignants-chercheurs, forment un réseau d’échanges de bonnes pratiques autour de la qualité. Issus des douze structures labellisées à ce jour (qui peuvent chacune disposer de plusieurs sites, à l’image des bibliothèques), ce réseau est piloté par Dorothée Hoenen, qualiticienne, aux commandes de la démarche qualité de l’établissement. « J’ai beaucoup retiré de ma participation aux audits qualité blancs auprès de diverses composantes et services : cela permet de se confronter à des questions auxquelles on n’aurait même pas pensé en interne ! Avoir accès à leurs procédures permet aussi d’examiner les nôtres d’un œil nouveau », apprécie Sabrina Rigal.

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Un comité d’éthique pour accompagner les chercheurs

Céline Clément et Valérie Lamour.

L’Université de Strasbourg vient de se doter d’un comité d’éthique pour la recherche. Cette nouvelle instance complète le dispositif déjà en place sur les questions d’éthique et de déontologie de la recherche à l’université, en se concentrant sur la recherche non-interventionnelle impliquant la personne humaine*. Tour de la question avec Valérie Lamour, vice-présidente recherche déléguée Interdisciplinarité et lien formation-recherche, qui a porté politiquement le projet, et Céline Clément, chercheuse en psychologie et présidente du comité.

Quelle est la genèse de ce projet ?
Valérie Lamour :
Depuis plusieurs années, certains enseignants-chercheurs interpellent la vice-présidence recherche sur l’absence d’un tel comité d’éthique dans notre université. En effet, de plus en plus de revues scientifiques, mais aussi des financeurs, notamment européens, demandent qu’on leur fournisse un avis d’éthique relatif aux protocoles. Jusqu’alors, beaucoup de chercheurs strasbourgeois s’adressaient aux comités d’éthiques d’autres universités en France et en Europe. Catherine Florentz a donc décidé de mettre en place ce comité pendant le mandat en cours. Elle m’a demandé d’organiser cette nouvelle instance. Je remercie tous les collègues qui y ont travaillé dans une ambiance conviviale et constructive.
Céline Clément : Ce type de comité existe déjà depuis longtemps en médecine et en recherche animale. Mais cela manquait pour les sciences humaines et sociales (SHS) au sens large.

Pourquoi a-t-on besoin de valider éthiquement des protocoles de recherche en SHS ?
C. C : Par exemple, dans les recherches en psychologie, en sociologie, en géographie, en sciences économiques, en sport, et parfois en sciences de la vie et technologies, on utilise des enquêtes et questionnaires auprès des personnes. Ces questionnaires peuvent générer des problèmes éthiques, au sens où les questions posées peuvent déstabiliser les personnes qui y répondent ou atteindre leur image. De ce point de vue, la célèbre expérience de Milgram n’aurait peut-être pas obtenu un avis favorable d’un comité d’éthique.

Ce comité complète d’autres dispositifs de déontologie et d’éthique de la recherche. Quel est son périmètre exact ?
V. L. :
Concernant la médecine interventionnelle, les comités d’éthique existent car il y a obligation légale d’obtenir l'avis d'un comité de protection des personnes pour les protocoles de recherche, notamment en recherche clinique. Mais la ligne de partage est parfois fragile entre la recherche interventionnelle et non-interventionnelle. C’est pourquoi nous avons intégré des membres des comités d’éthique en santé dans notre comité.
D’autant que le contexte législatif évolue beaucoup actuellement. La loi Jardé, adoptée en 2012, a modifié le cadre, et de nombreux décrets d’application promulgués depuis 2016 continuent de faire évoluer la législation. Il y a parfois une véritable difficulté à qualifier la recherche.
C. C. : Parallèlement, la création de comités comme le nôtre se développe au niveau national dans les universités. En septembre, nous allons même nous regrouper au sein d’une fédération. L’objectif est de partager les pratiques et de mutualiser la veille juridique puisque, justement, elle est compliquée.

Concrètement, comment les chercheurs peuvent-ils saisir le comité ?
V. L. :
Nous avons élaboré un questionnaire que le chercheur doit remplir s’il veut soumissionner. Cette demande doit nous parvenir deux semaines avant la réunion du comité, pour que ses membres puissent travailler sur le fond, avant de se mettre d’accord en réunion sur un avis.
C. C : Il s’agit d’un avis donné par des pairs, sur un ensemble de critères définis selon les réglementations, et suivant l'expérience de collègues expérimentés, avec d'autres comités. Il n’y a pas d’évaluation, mais la rédaction d'un avis et de recommandations. L’objectif n’est pas de créer une nouvelle procédure obligatoire, mais vraiment d’accompagner les chercheurs qui souhaitent avoir un avis ou y sont contraints par leurs financeurs. Ce n’est pas un processus bloquant, mais consultatif.

Propos recueillis par Caroline Laplane

* Le comité rend des avis sur les recherches non-interventionnelles impliquant la personne humaine, hors du cadre de la loi Jardé qui régit les recherches médicales

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Communicante de terrain

Le réseau des correspondants communication de l’Unistra compte environ 160 membres. Ils se réunissent en session plénière annuelle le 28 juin prochain. Portrait – professionnel – de l’une d’entre eux : Sarah Prohaska, correspondante communication à la Faculté de physique et ingénierie.

Sarah Prohaska ne pensait pas forcément faire de la « comm’ » un jour. Après une maîtrise d’administration publique en 2010, réussie à l’Institut de préparation à l'administration générale (Ipag), la jeune femme passe avec succès le concours de secrétaire administrative de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, et obtient un poste à l’Université de Strasbourg. Ça tombe bien, c’est ce qu’elle voulait. « Tout en restant à l’université, je suis passée de l’autre côté de la barrière », se félicite-t-elle aujourd’hui. Elle est recrutée comme chargée de communication et des ressources humaines de la Faculté de physique et ingénierie. Elle répartit son temps entre ces deux missions, selon les agendas et les urgences du moment. Par exemple, en cette fin juin 2018, elle passe beaucoup de temps à gérer les dossiers RH des vacataires pour l’année universitaire qui s’achève. « Ce qui me plait, c’est de jongler d’une mission à l’autre », explique Sarah Prohaska. 
Elle le reconnait, elle a appris la communication sur le terrain. En rencontrant ses pairs, en étudiant ce que font les autres et comment ils le font, ou en se formant aux outils, comme InDesign pour le graphisme. « Nous avons la chance d’être à l’université, insiste la communicante : nous avons une kyrielle de formations à notre disposition. » Les flyers, les posters, les kakémonos de présentation des formations, les objets promotionnels à l’effigie de la faculté… C’est Sarah, qui fait tout. De même que la mise à jour du site internet et l’animation de la page Facebook (« aimée » par environ 1 500 personnes) ou du compte Twitter de la faculté.

Organisation d’évènements

C’est elle aussi qui coordonne le lourd travail d’édition du livret pédagogique, la « bible » de la faculté, qui décrit en un seul ouvrage les matières enseignées, les volumes horaires, les modalités d’évaluation… Et quand il a fallu alimenter ROF, le Référentiel de l’offre de formation, c’est encore elle qui s’est chargée de modéliser la structure de formation. Et enfin, une fois par an, elle participe très activement à la réalisation de La Gazette, la lettre électronique de la faculté, en rédigeant interviews et articles.
« Mais ce qui me plait le plus, c’est l’organisation d’évènements », raconte la correspondante communication. Les Journées des universités, au Wacken, en février, les Journées portes ouvertes, en mars, ou la remise des diplômes, en novembre : à chaque fois, il faut organiser le stand, prévoir les animations, mobiliser les participants... Ce que Sarah préfère, c’est le relationnel, le contact avec les enseignants ou les étudiants, comme avec ceux de l’amicale Ariane, qui, aux dernières portes ouvertes, avaient eu l’idée de proposer des glaces à l’azote aux visiteurs de la faculté.
Tout ce travail, Sarah Prohaska le réalise sous la triple autorité d’Abdel-Mjid Nourreddine, directeur de la faculté, Marc Reiser-Deligny, responsable administratif, et Guillaume Weick, enseignant-chercheur et chargé de mission communication. Elle participe aussi régulièrement aux petits-déjeuners des correspondants communication, dont les derniers thèmes portaient sur la communication avec la génération Y ou le droit à l’image. Sarah apprécie ces rendez-vous : « On rencontre d’autres personnes et il y a toujours quelque chose à apprendre. »

Jean de Miscault

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Un studio vidéo accessible à tous à l'Atrium

Vous souhaitez apprendre à créer des contenus vidéo rapidement, sans être spécialiste ? Venez découvrir le studio d'enregistrement mis à disposition dans l'enceinte du Centre de culture numérique.

Son utilisation est gratuite et ouverte à tous, enseignants-chercheurs, étudiants, personnels administratifs. Ce dispositif s'appuie sur du matériel peu coûteux qu'emploient les Youtubers et autres enthousiastes des réseaux sociaux. D'un usage simple, il ne nécessite pas de personnel technique et peut facilement se répliquer à domicile.

Rendez-vous en salle AT0 (CCN'Lab) de l’Atrium pour tester le studio, demander conseil ou vous faire épauler dans la réalisation d'un projet, comme l'enregistrement d'un tutoriel, d'une réponse de cours, d'une capsule vidéo ou d'un pitch…

  • Contact : François Schnell, chargé du laboratoire des usages émergents au Pôle stratégie et transformation numériques, salle AT0, CCN'Lab, bâtiment Atrium, courriel ou 03 68 85 00 16

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Un partenariat avec Theconversation.com

Depuis le début de l’année, l’Université de Strasbourg a noué un partenariat avec The Conversation, et ce pour un an. Ce média en ligne d’envergure internationale a pour but de développer la parole des experts scientifiques à partir de questions d’actualité. Lancé en Australie en mars 2011, il se développe en France depuis trois ans.

L’Université de Strasbourg a décidé d’adhérer au média Theconversation.com pour une année d’expérimentation. L’objectif de ce site, qui travaille en collaboration avec les universités et les instituts de recherche, est d’apporter aux citoyens et aux médias des éclairages d’universitaires et de chercheurs concernant des questions d’actualité. Le tout, sans commentaire ni opinion.
Comment ça marche ? Les chercheurs, universitaires et autres doctorants répondent à un appel à sujets relayé par les correspondants communication des laboratoires de l’université.
Ils peuvent également proposer directement un sujet en lien avec l’actualité à la rédaction de The Conversation. « Dans ce cas, nous les incitons à tenir informé le correspondant communication de leur laboratoire, qui pourra relayer l’article au sein de l’université », souligne Armelle Tanvez, directrice du Service de la communication. « Ce sujet doit être en lien avec leur champ d’expertise », précise Sonia Zannad, journaliste contactée à l’occasion d’une visio-conférence présentant le dispositif aux correspondants communication de l’université. L’écriture se fait ensuite à quatre mains, entre le journaliste et le scientifique, qui dispose d’une visualisation de l’article final avant publication.
Une fois publié sur le site sous licence Creative Commons, l’article, de 8 000 signes maximum entièrement gratuit pour le lecteur, peut être librement repris par d’autres médias. « Le but n’est pas de courir après l’actualité et de presser les chercheurs. Nous essayons de diffuser au minimum un article par jour et par rubrique », rassure la journaliste. L’article est accompagné d’une fiche auteur, d’une biographie et du mail de ce dernier. Pour éviter tout conflit d’intérêt, une déclaration d’intérêt remplie par l’auteur est également visible sur le site. Constitué en association, Theconversation.com fonctionne grâce aux adhésions et aux dons et ne diffuse pas de publicités sur son site.

Les chiffres (janvier 2018)

370 000 visiteurs uniques par mois
2,4 millions de pages vues par mois
4 670 articles publiés
16 600 abonnés Twitter

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De Strasbourg à Xi’An, l'interconnexion internationale par la danse

Le double cursus Danse de la Faculté des arts de l’Université de Strasbourg était représenté lors du 3e Presidents’ Forum of Music Institutions of the Silk Road. 

S’inscrivant dans le projet One Belt, One Road (OBOR), initié par le président chinois Xi Jinping en 2013, cet événement scientifique et artistique rassemble chaque année plus d’une quinzaine de chercheurs, d’enseignants et d’artistes internationaux, issus d’institutions universitaires et d’écoles supérieures d’arts de renom.
Nathalie Boudet, responsable de la licence Danse, et Sylvie Boistelle, responsable pédagogique du double cursus Danse, ont été invitées par les conservatoires nationaux de Xi’An et Shanghai (Chine), du 21 au 23 mai.
L’occasion pour elles de présenter la licence double cursus Danse du Département des arts du spectacle de l’Unistra, en partenariat avec le Conservatoire à rayonnement de Strasbourg, et de découvrir à leur tour l’organisation du département Danse du Conservatoire de Xi’An.
Créé en 2016, ce parcours permet de valider une licence en arts du spectacle (parcours Danse) et le Diplôme d’études chorégraphiques (DEC) du conservatoire. L’intérêt de cette formation pour l’étudiant est qu’elle allie théorie et pratique de haut niveau et qu’elle permet une poursuite de cursus davantage professionnalisante.

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Un label de qualité pour quatre plateformes de l’IPCMS

La plateforme de nanofabrication STnano, récemment labellisée. Crédit : CNRS-IPCMS.

L’Institut de physique et chimie des matériaux de Strasbourg (Unistra/CNRS) a été certifié ISO 9001 pour ses activités d’élaboration et de caractérisation des matériaux grâce à différentes techniques (MEB, DRX, MET) et de nanofabrication en salles blanches.

Les plateformes de nanofabrication STnano, de diffraction par rayon X, de microscopie électronique à balayage et de microscopie électronique à transmission de l’IPCMS ont récemment reçu le label de qualité ISO 9001 délivré par l’Afnor.
Fait original, la formation initiale et la formation continue effectuées dans les plateformes entrent également dans le périmètre de la démarche qualité et de la certification.
Cette certification vient confirmer l’engagement de qualité dans les activités de recherche, reconnues internationalement, que mène l’IPCMS depuis maintenant 30 ans.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2018

 Juin Juillet
Conseil académique (CFVU+CR)
14 h - Mardi
 / /
Congrès (CA+CFVU+CR+CTE)
14 h - Mardi
 26 /
Conseil d'administration (CA)
14 h - Mardi
 26 3
Commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU)
14 h - Mardi
 19 4
Commission de la recherche (CR)
14 h 30 - Mercredi
 13 /
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 5 /
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 29 /
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 / 9
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
14 h - Lundi
 4 /
Comité technique d'établissement (CTE)
 28 /
Conseil académique restreint (CACr)*
 8 9-12
Conseil d'administration restreint (CAr)**
 8 /
* À 9 h (juin), à 13 h (juillet)
** À l'issue du CACr

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